La banque centrale française a mentionné le XRP de Ripple (ainsi qu'Ethereum) dans le dernier rapport sur les monnaies numériques émises par la banque centrale (CBDC).
"Les unités émises sur la blockchain native de la CBDC pourraient être transférées à d'autres chaînes de blocs. Puisque les attributs d'une unité de la CBDC (fichier représentant l'unité monétaire, clés permettant l'utilisation) peuvent être intégrés dans un crypto-asset circulant sur une autre blockchain. Cela est notamment possible avec Ethereum et Ripple, par exemple. Il deviendrait alors possible d'utiliser l'unité nouvellement créée sur cette blockchain. À ce stade, du point de vue de la banque centrale, l'unité serait "immobile" (aucun mouvement ne serait enregistré dans le registre distribué) jusqu'à ce que l'un des utilisateurs de la chaîne de blocs originale de la CBDC la fasse circuler. Dans l'intervalle, l'unité de la CBDC pourrait être échangée via la chaîne de blocs secondaire entre des entités n'appartenant pas au réseau de circulation officiel de la monnaie numérique. Toutefois, pendant la circulation sur les chaînes de blocs secondaires, les entités qui échangent ces actifs ne pourraient en principe pas vérifier leur authenticité, leur intégrité et leur caractère unique".
Les autorités européennes ainsi que d'autres banques centrales mondiales envisagent l'idée de numériser leur monnaie fiduciaire existante tout en encadrant davantage l'ensemble du secteur des crypto-monnaies. La possibilité que la technologie de Ripple soit utilisée à cette fin semble donc tout à fait envisageable. Mais il faut malgré tout rester prudent car, rappelons-le, le protocole de Ripple n'est pas public mais appartient à une entreprise, si bien que l'Etat Français pourrait lui préférer la solution Ethereum (ETH), comme d'ailleurs il est question dans cet extrait.
"Les unités émises sur la blockchain native de la CBDC pourraient être transférées à d'autres chaînes de blocs. Puisque les attributs d'une unité de la CBDC (fichier représentant l'unité monétaire, clés permettant l'utilisation) peuvent être intégrés dans un crypto-asset circulant sur une autre blockchain. Cela est notamment possible avec Ethereum et Ripple, par exemple. Il deviendrait alors possible d'utiliser l'unité nouvellement créée sur cette blockchain. À ce stade, du point de vue de la banque centrale, l'unité serait "immobile" (aucun mouvement ne serait enregistré dans le registre distribué) jusqu'à ce que l'un des utilisateurs de la chaîne de blocs originale de la CBDC la fasse circuler. Dans l'intervalle, l'unité de la CBDC pourrait être échangée via la chaîne de blocs secondaire entre des entités n'appartenant pas au réseau de circulation officiel de la monnaie numérique. Toutefois, pendant la circulation sur les chaînes de blocs secondaires, les entités qui échangent ces actifs ne pourraient en principe pas vérifier leur authenticité, leur intégrité et leur caractère unique".
Les autorités européennes ainsi que d'autres banques centrales mondiales envisagent l'idée de numériser leur monnaie fiduciaire existante tout en encadrant davantage l'ensemble du secteur des crypto-monnaies. La possibilité que la technologie de Ripple soit utilisée à cette fin semble donc tout à fait envisageable. Mais il faut malgré tout rester prudent car, rappelons-le, le protocole de Ripple n'est pas public mais appartient à une entreprise, si bien que l'Etat Français pourrait lui préférer la solution Ethereum (ETH), comme d'ailleurs il est question dans cet extrait.
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